Saphirae nocturnus:Guilde sympathique
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Saphirae nocturnus:Guilde sympathique

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 [Chapitre 5] Un soir, au château.

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Solis

Solis


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MessageSujet: [Chapitre 5] Un soir, au château.   [Chapitre 5] Un soir, au château. Icon_minitimeDim 15 Juil - 18:16



Il y eut un murmure, mais il se tût bien vite. Parler était indécent dans cette situation. L’orateur timide eut honte et comme les autres, il baissa les yeux. Une petite vingtaine de personnes, s’étaient agglutinés da la petite salle obscure et silencieuse silencieuses, tous occupés à ne rien faire.
Obscure, car il ne lui fallait pas de lumière. Elle lui brûlait les yeux, elle enflammait ses tissus, elle doublait sa peine et dans son état actuel, il n’en avait pas besoin. Silencieuse, car tout avait été dit. Le jugement des Dieux avait été sans appel et la sentence lui avait été prophétisée par le médecin du château. Solis Rivier, le baron des Saphirae Nocturnus, n’avait plus que quelques jours à vivre.

Il était allongé sur un lit de soie recouvert de draps blancs, et ses officiers loyaux étaient placés en cercle autour de lui. Pas de pleurs, pas de jérémiades ni de longues plaintes qui accompagnaient traditionnellement le décès des personnes importantes. Juste un silence respectueux, terrible et mortuaire. Le médecin, un vieil eniripsa affublé d’une longue barbe aristocratique et d’une robe blanche, qui camouflait la presque totalité de son petit corps, se tenait près de lui.

Dans le silence de marbre, Solis enfonça de nouveau sa tête dans sa taie de soie, se détendit autant qu’il pût et articula faiblement quelques mots :


« Dites-leur, médecin. »

***


Solis Rivier, le Baron des Saphirae Nocturnus, est empoisonné avec de l’Olcal, qui est un dérivé végétal du poison cinglant utilisé par les assassins débutants. Le poison est très commun et l’antidote est très simple à faire, j’en ai des litres dans mon laboratoire. Si j’avais eu le temps de lui administrer, sans doute n’aurait-il pas eu de séquelles, ou alors des séquelles très mineures. Mais maintenant que le système nerveux est touché, je ne peux plus rien faire pour lui.
En vérité, je suis parvenu à supprimer –très facilement, d’ailleurs, c’était un jeu d’enfant– les substances les plus mortelles et les plus pathogènes de son corps, mais maintenant que ses nerfs ont commencé à dégénérer, j’ai peur que la maladie ne soit plus du fait du poison, mais du fait du malade. Aucun antidote ne peut plus le soigner, car le seigneur Solis est sain et son corps est vierge.
Il a pour l’instant perdu l’usage de ses jambes et ne peut donc plus se tenir debout. Dans les jours qui viendront, sa colonne vertébrale transportera les germes destructeurs tout le long de son corps et progressivement, il perdra le contrôle de son bassin, de son torse et de ses bras. Il devrait mourir dans une semaine et demi, quand la totalité de ses nerfs seront corrompus. Bien sur, ce n’est qu’une estimation, la médecine n’est pas une science exacte.

***


Solis l’arrêta d’un mouvement de main. Tant qu’il l’avait encore cette main, celle qui tenait son épée, il pouvait encore prendre des décisions. Il n’avait pas organisé cette petite réunion pour se faire pleurer ou pour se faire plébisciter. Il s’était toujours éperdument foutu de l’opinion populaire et n’allait pas se réformer à quelques jours de sa fin. S’il avait invité la guilde pendant qu’il pouvait encore parler, c’était pour leur parler de politique.
Aujourd’hui, il était encore Baron, mais quel baron ! Un baron affaibli, blessé et malade. Cela faisait longtemps qu’il n’avait plus les épaules d’un chef. Les décisions étaient prises au dessous de lui, par les membres de la guilde et lui, n’avait fait que saluer leurs initiatives. C’est ce qui en avait fait une guilde forte, une guilde qui n’était pas uniquement du fait de sa hiérarchie. C’est ce qui avait fait du blason des Saphirae un emblème dont on pouvait être fier, et de leurs drapeaux, des bannières sous lesquelles on pouvait mourir sans regrets.
Aujourd’hui, Solis était sur la pente, sur la dernière ligne de sa vie, mais politiquement, était-ce si important ? La guilde doit continuer. Continuer sans admettre de réformes, en continuant à faire ce pourquoi elle a été fondée. C’est a dire offrir aux partisans une place où il fait bon vivre, avec des camarades à leur hauteur, à leur niveau de maîtrise des armes et des mots. La mort de leur dirigeant n’était pas plus bouleversante que celle des rats, dont Baletpatt faisait parti et dont le cadavre couvrait toujours une partie des caniveaux d’Astrub.


- Vous avez déposé vos armes non devant Solis, expliqua ce dernier d’une voix lasse. Mais devant le Baron. Vous ne l’avez fait non devant ses capacités ou le soutien du peuple, car il était Baron avant d’avoir les capacités de l’être, et était haït avant qu’il ne soit aimé. Aujourd’hui, je veux, Solis veut, que le Baron continue à vivre et que les partisans continuent de déposer leurs armes devant lui.

Il avait honte d’avoir réuni ses gens en l’absence de Kayme et de Fousbuges, les deux étant partis en mission. Mais aurait-t-il été capable de la tenir demain ? Il en doutait fortement.

- Solis n’est plus le Baron sitôt que Solis est mort. Le Baron, lui, vit indépendamment de Solis et c’est lui qui doit être respecté. Lui, et pas ce malade que vous écoutez parler.

Le Baron se redressa tant qu’il pût, s’assit sur ses fesses qu’il ne sentait plus qu’à moitié et son visage afficha un rictus douloureux. Se stabilisant avec ses mains, il jeta un regard à l’assemblée de ses généraux et de ses officiers et poussa un long soupir.

Gadis, mon frère, peux tu t’approcher un peu ?
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Gadis
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MessageSujet: Re: [Chapitre 5] Un soir, au château.   [Chapitre 5] Un soir, au château. Icon_minitimeDim 15 Juil - 19:19

_Oui mon frère.

Gadis s'avanca donc devant l'assemblée réuni autour du lit de solis.Il était comme a son habitude habillé d'une simple tunique noir ,qu'il affectionné particulièrement pour bricolé lorsqu'aucune menace n'était en vu du chateau.On pouvait voir sur ses yeux que cela devait faire plusieur nuit qu'il n'avait dormi
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Solis

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MessageSujet: Re: [Chapitre 5] Un soir, au château.   [Chapitre 5] Un soir, au château. Icon_minitimeDim 15 Juil - 20:11

Solis posa une patte fatiguée sur l’épaule de son jeune frère, se força à sourire malgré la douleur et après avoir longuement baissé le visage, eut enfin le courage de le regarder dans les yeux.
Le Baron était connu pour détester tout ce qui avait un rapport plus ou moins éloigné avec les idées corrompues et fantasmées de la démocratie. Ceux qui le connaissaient bien le savaient : il n’y aurait pas d’élections suite à sa mort. Le poste de Baron serait légué selon la loi salique dont Solis était partisan.


- Je n’ai pas d’enfants, Gadis. Je n’en aurais jamais. Cela ne me gène pas, parce que j’ai toujours detesté les enfants. Mais aujourd’hui, je me trouve sans héritier. La guilde ne peut appartenir qu’à un Rivier, Gadis. Qu’à un Rivier et…

Il mit la main sur son cœur et serra les dents dans une expression de douleur. Le silence reprit ses droits l’espace d’un instant pendant lequel le médecin, consciencieux et très professionnel, appliqua un baume sur le front du malade et l’allongea, calmant pour quelques heures la douleur atroce qui le faisait tressaillir.


- Je ne sais pas ce que tu fera de la guilde. Je ne sais pas si tu aura a subir tout ce que j’ai subit pour l’obtenir, ni si tu parviendra à la commander. Mais je veux qu’elle te reviennes, car nul autre que toi n’a la noblesse nécessaire à la diriger.

J’ai dit.

Le regard de Solis se fit plus calme, plus doux. Doux, pour un homme qui a passé sa vie à se battre. Se battre… Il avait passé sa vie à se battre, à se battre et à être victorieux. Se battre contre les craqueboules qui attaquaient la mine de son oncle Nubes, se battre aux cotés de son maître, le vieil Aethas, puis se battre contre son maître et ses suivants, se battre contre les Imas, se battre pour obtenir la guilde, se battre pour la faire prospérer.

Aujourd’hui, il n’avait plus la force de se battre.

Il avait toujours vécu par l’épée et aujourd’hui, il avait appris que la lance qui avait perforé son estomac était imbibée d’Olcal. Il avait vécu par l’épée et mourrait par l’épée. Mort ordinaire pour l’individu qui était parvenu, en dépit de tous ses nombreux ennemis, à faire de la Saphirae Nocturnus une guilde grande et puissante.

- Mes ministres ont pour ordre de te mettre la couronne sur la tête quand je serais mort, conclut-il. Rapelles toi : il ne faut jamais se contenter d’une vie médiocre. C’est comme ça que j’ai toujours vécu, que j’ai transformé la guilde, que nous sommes devenus redoutables. Car demain, tu sera Baron, mais quand tu sera dans ce lit, à ma place, c’est une couronne d’Empereur que tu leguera à tes fils.

Mon frère…
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Gadis
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MessageSujet: Re: [Chapitre 5] Un soir, au château.   [Chapitre 5] Un soir, au château. Icon_minitimeDim 15 Juil - 20:40

_Solis!!

Gadis s'approcha donc de son frère et le pris par le bras pour l'aider a ce mettre droit.

_Mon frère...Ne t'inquiète pas...Nous allons trouvé le Grahal et nous pourrons te soigné.

Le médecin debout derriere l'assemblé se leva et dit d'une voie hautaine.
_cela m'étonnerais guère.Les sequelles sont incurables...Pas même les douzes réuni pourrait le soigner.
_Dégager,Vous n'etes plus le bienvennue ici ,cria Gadis,De toute facon vous et votre ordre n'etes que des bon à rien.

Le docteur parti donc escorté de deux garde.Lorsque la porte fus fermé deneus qui était resté silencieux jusque la s'avanca...
_Peut etre voulez vous que l'on vous laisse seul les frangins?
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MessageSujet: Re: [Chapitre 5] Un soir, au château.   [Chapitre 5] Un soir, au château. Icon_minitimeLun 16 Juil - 9:52

A l'extérieur, plusieurs éclairs traversaient le ciel. Un sombre orage se préparait, comme si la nature avait décidé de se "calquer" sur la situation du Baron, au chateau. Le vent faisait plier les arbres, et ceux ci se balançaient et émettaient des craquements plus ou moins inquiétants, ce qui, dans l'obscurité du moment, donnait à Fousbuges l'impression de marcher entre des monstres difformes, aux silouhettes effroyables. Mais il fallait faire vite.

Le visage du Sacrieur était pâle, fatigué, et il tremblait de tout son corps à cause du froid. Emmitouflé dans sa vieille cape de l'Homme-Ours, il avançait, il est vrai, à un rythme plutôt lent, mais sûrement. A sa ceinture était accroché un épais et vieux grimoire, qu'il semblait par dessus tout vouloir protéger de la pluie. Marchant difficilement dans la boue, il craignait de ne jamais arriver au chateau, et pourtant, c'était aujourd'hui qu'il fallait qu'il y parvienne.
Maintenant qu'il avait ce grimoire, maintenant qu'il savait ce que ses soldats ont cherché à découvrir, en vain, pendant des mois.

Accélérant un peu la cadence, il faillit s'effondrer pour de bon, trébuchant sur une pierre. Il n'avait pas dormi depuis quatre jours, et devait faire face à la fatigue, mais aussi à une folie naissante, dûe aux épreuves qu'il venait de traverser. Récupérant son équilibre, il ouvrit son sac, car, j'ai oublié de préciser une chose : Fousbuges avait faim. Il n'avait pas pu emporter grand chose pour son voyage, aussi mangeait-il rarement. Il ouvrit son sac, disais-je, et aperçut qu'il n'y restait plus rien.
Enfin... Il ferait sans nourriture. Le chateau ne devait plus être très loin, une dizaine de kilomètres, tout au plus. Et il devait y arriver...


***


A l'entrée de la forteresse, deux gardes surveillaient la porte. Ils étaient jeunes. Trop jeunes. Des garçons de cet âge là vont courtiser les jeunes femmes. Des garçons de cet âge là vont flâner dans les rues de la cité d'Astrub. Mais si il y a bien une chose que des garçons de cet âge là ne font pas, c'est bien de garder une porte, dans le froid et sous la pluie. L'eau ruisselait entre les pièces de leur armure, mais ils restaient à leur poste, apparemment prêts à mourir pour la noble Saphirae Nocturnus.

Soudain, au loin, une silouhette commença à émerger du brouillard. Il était impossible de dire ce que c'était à cause de l'obscurité et de la pluie. Mais quelqu'un ou quelque chose sortait de la forêt. Lentement, l'ombre qui avançait vers le chateau devenait reconaissable. C'était un ours. Ou peut être un homme. Non, ça ne pouvait être qu'un ours, aucun homme n'a autant de poils, fut-il Sadida lui même. Ou alors, c'est un homme qui porte une peau d'ours sur lui.

Au final, ce ne se révéla qu'être Fousbuges. Essayant de se tenir droit, de ne pas faillir devant ses hommes, il regarda les gardes. Comme moi, le général les trouva terriblement jeunes. Lentement, il s'approcha du garde de droite. Arrivant près de son oreille, il murmura :


"Rentrez chez vous, les garçons. Votre place n'est pas ici."

Les jeunes hommes hésitèrent longuement, avant de s'incliner et de partir vers le village d'Astrub, non loin du chateau. Le Sacrieur ouvrit alors la porte menant dans le batiment principal...

***


Dans les couloirs du chateau, le silence était presque total. Seul le crépitement de quelques torches accrochées aux murs montrait que le chateau n'était pas inhabité. Les pieds nus de Fousbuges ne résonnaient pas au contact du sol, mais à un moment, des pas se firent entendre. Le Sacrieur reconnut des pas d'une petite personne, certainement rattrapée par son âge. Au détour d'un couloir, il croisa alors le médecin. Le général savait que ce genre de docteurs ne venait que pour des affaires très graves, aussi s'inquiéta-t-il. Aggripant le bras de l'Eniripsa, sans un mot, il le fixa du regard, dans l'espoir de tirer un renseignement. Quand le soigneur eut fini d'expliquer la maladie du Baron à Fousbuges, ce dernier lacha son bras.

Dès ce moment, plus aucune douleur physique ne rentra en compte pour le Général. Courant à travers les corridors, malgré sa fatigue, sa faim, sa folie et ses blessures, il arriva dans la salle où Solis se trouvait. Marchant fermement à travers la foule, qui s'écartait à son passage, il s'approcha et s'accroupit près du lit du meneur de la guilde. Lui prenant lentement la main, il regarda son plus fidèle compagnon. Alors toutes les aventures qu'ils vécurent ensemble lui revinrent à l'esprit. Leur rencontre, leurs ideaux, leurs hauts, leurs bas, les rixes dans la taverne, les batailles rangées, les battues de percepteurs...

Cela faisait longtemps que Fousbuges ne considérait plus Solis comme son ami : C'était son frère qui agonisait sur ce lit. Il lui murmura doucement :


"Hé Solis, c'est Fousbuges. Dis moi, ce médecin, il disait des salades, hein ? Ce n'est qu'un pauvre charlatan, n'est ce pas ? Il a fait un mauvais diagnostic, ça ne peut être que ça..."

Pendant qu'il marmonnait ces paroles insensées, il pleurait. Oui, il pleurait. Les Sacrieurs se complaisent dans la souffrance, mais même le plus hardi et téméraire de ces gens aurait peur de devoir subir une telle épreuve. Quand il comprit par le silence de Solis que la vérité avait été dite, il rajouta :

"Alors Baron... Si tu veux tant mourir, meurs. Mais avant, je trouverai le Grahal. Et que Sacrieur me torture jusqu'à la fin des temps si je venais à faillir à ma tâche. Je sais où il se trouve maintenant, et nous irons le chercher..."


Se relevant, se tournant vers l'assemblée de gens, il commença à parler d'une voix forte :

"Soldats ! Ce soir, le Baron de la Saphirae Nocturnus est au plus mal, comme vous devez le savoir. Seulement, j'ai fait une promesse à cet homme. Le Grahal sera retrouvé avant son dernier souffle ! Je sais où se trouve cette relique maléfique, et dès demain, nous partirons le chercher. Le voyage sera long, long et dangereux. Beaucoup d'entre nous ne reviendrons pas. Mais j'ai besoin de vous. Demain, à l'aube, je serai à l'entrée du chateau. Quiconque veut honorer cette promesse, quiconque veut accomplir son serment, venez. Je vous attendrai à l'entrée. Et..."


Soudain, Fousbuges s'arrêta. La fatigue le reprit, et la faim le rongea de nouveau. Il tituba, et s'effondra. Avant de s'évanouir, il pensa, avec son humour si particulier :

**On fait encore bonne impression devant les soldats, à pioncer à longueur de temps...**


Dernière édition par le Lun 16 Juil - 15:38, édité 1 fois
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Gadis
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MessageSujet: Re: [Chapitre 5] Un soir, au château.   [Chapitre 5] Un soir, au château. Icon_minitimeLun 16 Juil - 10:36

_Soldat emmené fousbuge se reposé annonca Gadis.
SI il sait ou est cette maudite relique il faut qu'il soit en forme.
Les soldats obeir et emmenèrent fousbuges a sa chambres.
Gadis se rapprocha de solis.
_Mon frère nous t'appporterons le Grahal que tu puisse le touché avant ta mort mais j'aimerais que tu fasse un ultime effort pour me répondre...A qui veux tu que j'enseigne la Kasselnikov ou veux tu qu'elle périssent avec toi?Je souhaiterai aussi savoir comment tu veux que je tue le médecin incompétent?
Un soldat s'avanca.
_Messieur, Le baron dors
_Non il ne dort pas , il se repose comment expliqueriez vous que quelqu'un qui dort puissent faire cela.
Le garde regarda le pouce de solis dirigé vers le bas
_Très bien le médecin sera executé mon frère...Deneus restera a ton chevet pendant queje prépare l'expedition de demain...
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MessageSujet: Re: [Chapitre 5] Un soir, au château.   [Chapitre 5] Un soir, au château. Icon_minitimeMar 17 Juil - 11:29

Fousbuges se réveillait lentement. A l’extérieur, l’orage avait fait place à un temps plus clément, et le soleil n’était que rarement caché par les derniers nuages flottant dans le ciel. On entendait les pious chanter, et contrairement à la veille, la nature était opposée à la situation présente. Même le meilleur des observateurs ne pourrait se douter que la plus importante opération de la Saphirae Nocturnus allait être mise en marche le jour même. Dans le château, le silence était une fois de plus complet. Soit les soldats s’étaient déjà préparés, soit personne n’est venu.

Quand le Sacrieur eut définitivement quitté le monde du sommeil, il observa autour de lui. Son équipement avait été préparé, et il esquissa un sourire en apercevant le repas qu’on lui avait cuisiné sur la table. Il se jeta dessus, car même si les gardes lui avaient fait manger un peu de pain avant de dormir, il avait toujours aussi faim. Ayant fini son repas, il put repasser aux choses sérieuses. Il prit du papier, et se mit à écrire. Premièrement, pour Solis, et deuxièmement, pour la guilde. Car quand il disait que beaucoup ne reviendraient pas, il évoquait la possibilité que lui aussi ne soit pas du retour.

Après avoir fini d’écrire ses lettres, il enfila son armure, puis descendit au rez-de-chaussée. Tous ceci n’avait duré qu’environ vingt minutes, et il devait être environ sept heures et demi du matin. En arrivant dans la chambre du Baron, celui ci dormait. Fousbuges, ne préférant pas le réveiller, ne fit que poser sa lettre à côté de lui, sur son lit, et partir silencieusement en direction de l’entrée. Avant de refermer la porte de la chambre, il posa un dernier regard sur l’homme avec qui il avait vécu tant de choses, puis, d’un geste sec, il ferma cette salle, et partit à travers les couloirs. Il arriva à la porte d’entrée, et en l’ouvrant délicatement, il espéra y voir ses plus fidèles compagnons…


***


Sur la lettre de Solis était écrit :


Solis, cher compagnon.

Quand tu lira ça, je serai certainement loin. Pour être franc, je ne sais pas quoi écrire. Il y a tant de choses que j’aurai aimé dire, malheureusement, je n’ai ni le temps, ni la place.
Je me rappelle quand on s’est rencontré. C’était au sud ouest d’Astrub, je flânais, comme à mon habitude. A l’époque, tu étais jeune et aventurier. Tu avais des rêves fous, impossible à réaliser. Et aujourd’hui, tu es un Baron. Un Baron mourant, certes, mais un Baron quand même. Tu as toujours eu ça dans le sang. La politique, la guerre, la diplomatie… Pendant toute cette période, tu as eu à tes côtés un homme du peuple. Mais cela t’a suffit. Tu t’es contentée de mon humble personne, et tu as su faire de grandes choses. On se rappellera toujours de Solis Rivier, le premier Baron de la Saphirae Nocturnus. Ce royaume restera dans les mémoires au fil des siècles. Peut être s’effondrera-t-il, mais dans les esprits, il subsistera cette image d’une communauté dirigée d’une main de maître par un homme qui a du faire face à des répressions, à des trahisons, à de nombreux combats.
Sache que ça a été un honneur de combattre à tes côtés. J’aurai aimé t’assister dans tes dernières heures, pouvoir assister à ton enterrement. Mais toi et moi savons que les choses doivent en être ainsi.

Puisse Iop t’accueillir dans son Royaume céleste.

Adieu, mon frère.

Fousbuges
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Akeginu

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MessageSujet: Re: [Chapitre 5] Un soir, au château.   [Chapitre 5] Un soir, au château. Icon_minitimeMar 17 Juil - 17:09

Akeginu n'étais pas au chateau...Elle y avais rarement mis les pieds...
Voir du monde l'acceuillir en s'inclinant devant elle, ou toute autre forme de courbette ne lui plaisait pas...
Elle restait souvent dehors, même la nuit, a errer, dans ses pensées...

Posée sur un rocher non loin de la, elle avait apperçu une petite armée qui s'était formée devant le chateau...Elle ne chercha pas a distinguer si des membres étaient parmis les soldats.

Cependant, elle commença a avoir le chateau qui semblait délicatement disparaitre, peu a peu...
Elle pris le blason de la Saphirae Nocturnus entre ces doigts et pensa :


"Il semblerait que mon temps avec la Saphie Nocturnus touche a sa fin..."

Elle resta immobile, fixant le blason entre son pouce et son index...
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Vodka-Citron

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MessageSujet: Re: [Chapitre 5] Un soir, au château.   [Chapitre 5] Un soir, au château. Icon_minitimeMer 18 Juil - 15:33

Décidément, Vodka avait le chici pour attirer les ennuis. Il n'avait rencontré le baron Rivier que 3 fois (1), mais chaque fois, il lui imposait un respect immense.
Il paraissait clair que Solis ne devait pas mourir, mais que pouvait y faire Vodka ? Rien. Lui n'était qu'un ourson bourré, et il faudrait au moins le dieu Eniripsa pour sauver Solis. Le dieu Eniripsa en personne, ouais. Rien moins que ça.
Grosso modo, on pouvait dire que le sort en était jeté.

Vodka venait de rentrer dans le chateau par un petite porte dérobée. Il grimpa les hautes marches qui menaient au bureau de Solis, et espérait y trouver Gadis. Il venait d'avoir une idée. Une idée folle et surement irréalisable. Et quand bien même elle le serait, il serait sans doute fou qu'elle marche. Mais comme dit le dicton Pandawa: "Qui ne tente rien, n'a rien" (2).

Il farfouilla les pièces à la recherche de l'Osamodas. Il arriva au panneau d'affichage sur laquelle s'affichait une expédition pour retrouver le Grahal.Ils ont réussi à le localiser ? Ces fous ! Après tout, si Ecaflip le veut, peut-être que Solis survivra. (3)

_________________________
(1) La première fut la rencontre officielle. Il le croisa une fois à la taverne de Sufokia alors que Vodka entamait rien de moins que son sixième tonneau, et une fois dans le chateau, devant la porte des cabinets, squattées depuis deux heures par Gadis.
(2) Dans le recueil des dictons pandawas (les 187 tomes sont en vente à la bibliothèque de Pandala), celle-ci se trouve entre "Pas de bras, pas de chocolat", et "Le peuple est un Bouftou". La deuxième est une phrase du grand général Féca "Farle D'Gôle".
(3) C'est pas pour ca que Vodka en a oublié son idée, et il repartit à la recherche de Gadis.
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Gadis
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MessageSujet: Re: [Chapitre 5] Un soir, au château.   [Chapitre 5] Un soir, au château. Icon_minitimeMer 18 Juil - 16:01

Alors que Vodka sorti en courant un garde l'interpella.
_Monseigneur Vodka...Gadis est dans la tour...Il y a un défaut dans la machien d'invisibilité...apparement elle ne reconnais plus certain badge...il est en trainde la réparé..SI vous voulez lui parlé vous pouvez y allé
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MessageSujet: Re: [Chapitre 5] Un soir, au château.   [Chapitre 5] Un soir, au château. Icon_minitimeSam 21 Juil - 10:43

A l'ouverture de la porte, ce fut un choc pour Fousbuges. Aucun officier. Que de jeunes gens, de jeunes soldats qui ne tiendraient pas quelques secondes là où ils allaient. Le Sacrieur soupira. Ainsi, tout celà se finissait ainsi. Il n'allait pas envoyer ces hommes à la mort. Pas cette fois. Il leur ordonna de rentrer dans le chateau.

Cette fois, il serait seul. Il partit donc vers l'ouest. Et plus personne ne le revit. Cependant, on pouvait deviner que le Grahal fut trouvé, car la semaine qui suivit, la nature fut plus déchainée que jamais.


Tandis que sur la côte, à l'est, un petit bateau s'éloignait lentement des terres d'Amakna...


***


Et sur le bureau du Sacrieur se trouvait une lettre :

Compagnons, compagnones.

Cette semaine aura été la plus importante de tous les temps, autant pour la Saphirae Nocturnus, que pour le reste du monde.

D’abord, il y a la mort du Baron, Solis Rivier. J’espère que ses funérailles seront dignes, et que le monde se souviendra de lui après son départ. C’était un chef exemplaire, un homme formidable, un guerrier impitoyable. Il mérite sa place dans les livres d’histoire.

Ensuite, il y a le Grahal. Nous le trouverons, certainement. Je suis incapable de dire quelles créatures nous attendent là où nous allons, mais les dieux sont avec nous. Je sais par exemple que nous avons le soutien total de Sacrieur. Pourquoi le sais-je ? Car j’ai compris mon rôle.

Quand j’étais à son service, son potentiaire, ce n’était pas pour les tâches les plus importantes. Je n’ai rien fait de bien extraordinaire d’un point du vue physique, j’ai passé des siècles enfermé, à réfléchir. Et tout ceci, pour me préparer à la suite.

Quelque soit l’issue de cette aventure, je partirai. Avec le Grahal, sans doute. Cet objet est bien trop maléfique pour rester entre de trop nombreuses mains, et à la portée de tous. Il fallait un homme habitué à la solitude, un homme qui ne deviendrait pas fou. Ce Grahal, il faudra le garder jusqu’à ce qu’il ne représente plus aucun danger. Et je ne sais même pas si cela arrivera un jour. En tout cas, je serai là pour le voir. Le Grahal possède sûrement suffisamment de pouvoirs pour maintenir en vie un homme.

Enfin. Je ne partirai pas dans les détails, car le temps presse. Ne cherchez pas à me retrouver, vous n’y arriverez pas. La Saphirae Nocturnus doit continuer sa route, et elle le fera sans moi. Vous saurez vite me remplacer, et je pense que la personne qui sera à ma place sera bien plus compétente. Je n’ai jamais été un général, et je ne le serai jamais.

Je vous dis adieu, les amis. J’espère que vous saurez faire les bons choix par la suite.


Fousbuges
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Vodka-Citron

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MessageSujet: Re: [Chapitre 5] Un soir, au château.   [Chapitre 5] Un soir, au château. Icon_minitimeDim 22 Juil - 20:52

Vodka dévala les escaliers en courant (et se vianda méchamment sur la marche morte en plein milieu), et il attérit juste devant la grande porte. Il sortit et rejoint Gadis qui s'affairait dehors.

-Chef. J'ai une idée totalement stupide qui pourrait peut-être sauver votre frère.

Fousbuges venait de sortir. Vodka ne le connaissait que très peu, vu qu'il était solitaire. Il s'enfonçait dans la brume qui s'élevait au dela du chateau...
Vodka aurait voulu crier, mais le Sacrieur était déja trop loin...
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Solis

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MessageSujet: Re: [Chapitre 5] Un soir, au château.   [Chapitre 5] Un soir, au château. Icon_minitimeMar 24 Juil - 15:53

C’était le matin, trois jours après la déclaration de la maladie de Solis et celui ci était au plus mal. Il était allongé dans son lit, le corps paralysé jusqu’au bas des côtes. Il détestait ça. Il aurait aimé reprendre l’usage de son corps entier, se saisir de sa Razielle et d’aller pourfendre les Imas une bonne fois pour toutes. Combien en avait-il tué, avant de recevoir ce coup de lance ? Deux pendant la charge, trois un quatre pendant la panique et une bonne paire alors qu’ils étaient encerclés, avec Fousbuges. Il avait revanche à prendre ! Il voulait leurs têtes, à ces sales fourbes qui ressentaient la nécessité d’empoisonner leurs armes et de se cacher comme des pleutres pour pouvoir se battre.

Sa tête retomba sur son orreiller. Aujourd’hui, la guerre était finie pour lui. Jamais plus il ne pourrait commander son bataillon, jamais plus il ne pourrait soulever son épée. C’était comme ça, il fallait s’y faire. Et c’était douloureux. Il était seul, aussi. Il voulait revoir Gadis, il voulait revoir Kayme. Fousbuges, Akeginu…

Tous ses loyaux officiers qui lui avaient juré allégeance et qui l’avaient aidé à prendre le dessus sur les rebelles lors de sa prise du pouvoir. Il y repensa longuement et se dit qu’il était fier de tout ce qu’il avait fait.
Mais aujourd’hui, il ne pouvait qu’attendre. Il prit son mal en patience, se disant que l’attente ne serait pas longue : il avait convoqué son frère à l’heure du repas et justement, la faim le tenaillait, lui signalant par la même que l’heure était proche.
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Gadis
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MessageSujet: Re: [Chapitre 5] Un soir, au château.   [Chapitre 5] Un soir, au château. Icon_minitimeMar 24 Juil - 15:59

Gadis entra dans la chambre du baron qui était allongé. Il était venu avec un plateau contenant un bol de soupe ainsi que les médicaments ordonnancés par le médecin.
_Oui mon frère je suis la, J'ai croisé Khris se matin même , Il s'inquiète vraiment...
Gadis regarda Solis , La couleur de sa peau était d'une blancheur inquiètante et son visage avait pris 20 ans en une semaine
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Solis

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MessageSujet: Re: [Chapitre 5] Un soir, au château.   [Chapitre 5] Un soir, au château. Icon_minitimeMar 24 Juil - 18:53

« Aaah, mon frère… »

Un petit sourire s’afficha sur le visage de Solis. Un sourire douloureux et résigné, mais c’était un sourire quand même. Il était content de voir son frère. Se levant avec difficultés et s’appuyant sur le rebord de sonb lit pour tenir dans une position assise qui ne soit pas trop ridicule, il toucha un peu à sa soupe, mais délaissa les médicaments. Le médecin du baronna ne pouvait que calmer sa douleur…or, cela faisait longtemps qu’il y était habitué et qu’il pouvait la supporter sans la machinerie médicale du docteur.

« Cela fait longtemps que tu donne des épreuves aux nouveaux membres et que tu fais un travail remarquable. » commença-t-il d’une voix qui n’avait plus rien a voir avec celle du jeune et fougueux chevalier qu’il était autrefois.

« Maintenant que je suis sur le déclin, j’aimerai à mon tour, t’imposer une épreuve. »

Il avait toujours rêvé de bâtir une guilde gigantesque, pleine de membres solides et de soldat courageux. Maintenant qu’il l’avait fait, il voulait pouvoir contempler son œuvre. Cela faisait si longtemps qu’il attendait un moment comme celui ci et qu’il en était empêche par les aléas de sa vie de chevalier, et par les contraintes de sa vie de seigneur… Maintenant que tout était écrit, il ne perdait plus rien à demander.

« J’aimerai que tu monte un défilé en l’honneur des Saphirae Nocturnus. Je veux voir des drapeaux partout, des fanfares assourdissantes, des défilés militaires et des conscrits qui marchent au pas. Si tu parviens à organiser ça avant trois jours mon frère, alors tu aura réussi ton épreuve. »

Et Solis pria silencieusement pour qu’il y parviennes.
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Thale Khris

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MessageSujet: Re: [Chapitre 5] Un soir, au château.   [Chapitre 5] Un soir, au château. Icon_minitimeLun 30 Juil - 18:55

Et je mettrais tout en oeuvre pour que jamais ce defilé ne trouve d'égal dans ce monde

Khris entra dans la pièce ou se trouvait le baron mourant.

Gadis si tu m'autorise à te porter assistance je te promet de faire de mon mieux.
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